Jack In My Head
Depuis 2016, Jack In My Head s'est lancé dans de nouvelles créations basées sur le paysage sonore et visuel d'un lieu. Un processus intitulé Phonorama Subjectif est mis au point : on explore le lieu, on y capte des sons et des images qui servent de matière première à la création d'un concert scénographié, avec vidéo.
Jack In My head peut aussi se produire en concert. Il puise alors dans ses trois albums pour constituer une série de morceaux (1h / 1h15) présentant une palette assez large de l'utilisation du violoncelle, de son traitement sonore par informatique et de séquences.
Sur scène, le musicien dispose d'une série de capteurs électroniques qu'il contrôle avec son archet, pour lancer ou modifier ses séquences, tout en jouant de son instrument. Ce système permet de ne pas figer les morceaux mais, au contraire, de garder une liberté de durée, de structure et d'improvisation.
Des écrans peuvent être placés derrière le musicien. Ils servent alors de supports à des séquences vidéos dont le traitement est réalisé en direct, en même temps que la régie lumière. Cette création vidéo/lumière est assurée par Sébastien Bouclé, qui suit le projet depuis le début.